Partager le savoir-faire entre francophones : un objectif qui est toujours d’actualité… depuis 48 ans !! Avec la CPCCAF…

Mise à jour le 11 mai 2021

Le 11 mai 2021 marque le 48ème anniversaire de la Conférence permanente des chambres consulaires africaines et francophones (CPCCAF), créée à Dakar par les présidents Georges Pompidou, Léopold Sedar Senghor et Félix Houphouët-Boigny, afin d’assurer le rayonnement de la francophonie économique grâce renforcement des liens de coopération entre les chambres. Avec le développement du secteur privé et des entreprises comme objectif pour la croissance économique du continent africain, la CPCCAF s’attache aussi à favoriser des partenariats équilibrés entre opérateurs francophones. 

Constituant aujourd’hui un réseau opérationnel de plus de 130 chambres (et organismes assimilés) dans 32 pays différents dont 26 en Afrique, la CPCCAF fonde son action sur le modèle du compagnonnage qui repose sur la transmission de savoir-faire et de bonnes pratiques entre experts et conseillers de structures intermédiaires francophones chargées de l’accompagnement des entreprises. Ainsi, grâce notamment à son réseau international et ses partenaires, la CPCCAF a pu mettre en œuvre des programmes de développement comme Franco-Fil, le Compagnonnage consulaire ou le programme européen Archipelago dans de nombreux domaines comme : la formation et l’emploi, l’insertion des jeunes et des femmes, la transition écologique / énergétique, l’alimentation et la sécurité économique…

Résolument tournée vers l’avenir la CPCCAF  entend mettre en œuvre de nouveaux projets mettant en avant le développement durable et la transition numérique. Avec pour volonté de contribuer efficacement à la dynamique des entreprises au travers du renforcement des structures qui les accompagnent, la CPCCAF ne manque pas par ailleurs de recenser leurs besoins, comme au travers du baromètre annuel sur l’opinion des entreprises africaines ou des études et enquêtes qu’elle élabore, comme en 2021 la résilience post-Covid19 et l’internationalisation des entreprises africaines. 

A lire aussi