La CAPEF (chambre d’agriculture) du Cameroun, en mission à Paris, pour rencontrer les partenaires de sa relance

Mise à jour le 14 mars 2022

La CAPEF (chambre d’agriculture) du Cameroun,

en mission à Paris, pour rencontrer

les partenaires de sa relance

Conduite par son Président, Martin Paul MINDJOS, la CAPEF (chambre d’agriculture) du Cameroun, membre de la CPCCAF, a profité de sa présence à Paris, en marge du Salon international de l’agriculture (SIA) pour rencontrer les différents partenaires qui seront susceptibles de l’accompagner dans son développement et sa relance

  • La délégation camerounaise a échangé tout d’abord avec la Délégation générale de la CPCCAF sur différents sujets relatifs à la relance de la chambre d’agriculture du Cameroun, après les importantes difficultés qu’elle a connues ces dernières années et également du fait de la crise du Covid19.
Prévue conformément au décret de 2016 sur les nouvelles missions de la CAPEF et compte tenu de sa nouvelle gouvernance mise en place en 2021, cette relance a pour objet de dégager de nouvelles sources de revenus pour la CAPEF, dès lors que son fonctionnement (gestion) et sa gouvernance (organisation) auront été convenablement améliorés.
Les nouvelles sources de revenus attendues se fondent notamment sur le renforcement de l’offre de la CAPEF en matière de formation professionnelle, et le développement d’activités de promotion de l’agriculture camerounaise, moyennant des foires, salons et rencontres d’affaires (grâce à des infrastructures nouvelles, l’organisation d’un salon agricole…).
De ce fait, la CAPEF fait appel à la CPCCAF pour trouver des expertises qui pourront l’aider à assurer ce renforcement. Elle réaffirme ainsi fortement son appartenance au réseau CPCCAF qui se réunira les 4 et 5 avril 2022 à Yaoundé pour son Assemblée générale.
  • Par rapport à la formation de son personnel (cadres CAPEF) et également de ses ressortissants, la CAPEF a fait part de ses projets.
S’agissant en particulier des entreprises ressortissantes, la CAPEF compte ainsi constituer un réseau de 10 écoles dans les régions du Cameroun. Outre la question des infrastructures à mettre en place, ces écoles devront alors dispenser des formations sur les thématiques agricoles, de l’élevage, de la pêche et de la foresterie…. pour lesquelles il convient de développer des référentiels de formation (comme pour l’accès au marché…)
C’est pourquoi la CPCCAF a présenté à la CAPEF plusieurs écoles du groupe CCI Paris IdF :
1. SUP DE VENTE – ESSYM a ainsi présenté son offre relative au développement de compétences, particulièrement pour ce qui concerne le développement d’une offre de formation (renforcement de compétences) en mode numérique. 
2. ESCP BS a par ailleurs présenté son activité (Executive master, Institut JB SAY, Partenariat avec BPI), et échangé avec la CAPEF sur son programme certifiant (délivrance de micro-certificats)  et la création de séminaires sur mesure.

A lire aussi

17 décembre 2025 Actualité du réseau

Nouvelle publication : Compétitivité des PME en Afrique francophone 2025 et paiements électroniques

17 décembre 2025 Actualité du réseau

Landry Roland Noutchang : Un parcours marqué par l’engagement et l’expertise

10 décembre 2025 Non classé

Djibouti – Atelier régional sur le Projet DRIVE : renforcer la coopération pour moderniser la filière de l’élevage en Afrique de l’Est

10 décembre 2025 Actualité du réseau

Lancement officiel de la 1ère cohorte du programme PEPITE 2030 avec la participation active de la CCI-Côte d’Ivoire

10 décembre 2025 Actualité du réseau

Leadership consulaire : les CCI de l’UEMOA avancent vers un observatoire économique communautaire

10 décembre 2025 Actualité Monde

Le Bénin adopte son Plan d’Action National pour l’Économie Circulaire 2025-2035

9 décembre 2025 Actualité Monde

 Vers une Afrique circulaire et durable : le plan CEAP 2024‑2034 de l’Union Africaine

5 décembre 2025 Actualité du réseau

Gabon : Retour sur les Journées de l’Employabilité et de l’Entrepreneuriat

5 décembre 2025 Actualité du réseau

Moroni : l’UCCIA lance sa nouvelle mandature avec une Assemblée Consulaire tournée vers la modernisation