Zones économiques spéciales: moteurs de l’économie ?

Mise à jour le 10 janvier 2024

À la suite de l’annonce révolutionnaire faite lors des derniers jours de la COP28, un appel retentissant a été lancé aux nations africaines pour qu’elles abandonnent le développement et l’exploitation des combustibles fossiles et optent plutôt pour une transition énergétique. Pendant ce temps, en République démocratique du Congo, Rawbank adopte une position audacieuse dans la lutte contre le changement climatique.

Dans la sphère en constante évolution du développement économique, les zones économiques spéciales (ZES) sont devenues des instruments essentiels, jouant un rôle crucial dans la stimulation de la croissance économique et la défense des principes du libre-échange à travers le continent.

La question qui se pose est la suivante : comment ces zones peuvent-elles devenir des moteurs essentiels de l’économie circulaire et durable du continent ? Moubarack Lo, directeur général du Bureau de Prospective Economique du Sénégal, et maire de la commune de Niomre, répond sur la chaine d’information Business Africa.

La COP28 appelle à une transition énergétique en Afrique

Avec la conclusion de la COP28, une étape historique a marqué les débats – un accord climatique révolutionnaire unissant plus de 100 nations dans un engagement à s’éloigner des combustibles fossiles. Cependant, sous la surface de ce consensus mondial se cache un réseau complexe de défis, particulièrement poignants dans le contexte africain.

RDC : la première banque dédiée à la lutte contre le changement climatique

Rawbank, la principale institution financière de la République démocratique du Congo, fait preuve d’un engagement accru dans la lutte contre le changement climatique. La banque a adopté le calculateur de carbone de Mastercard et a conclu un partenariat avec Vitol pour financer des projets d’énergie renouvelable.

 


A lire aussi