Signature de convention CPCCAF-CNOEC-CNCC

Mise à jour le 14 octobre 2024

Marseille, 10 octobre 2024 – À l’occasion du 79ème Congrès de l’Ordre des Experts-Comptables, une convention significative a été signée entre la Conférence Permanente des Chambres Consulaires et organisations intermédiaires Africaines et Francophones (CPCCAF), le Conseil National de l’Ordre des Experts-Comptables (CNOEC), et la Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes (CNCC).

Les signataires de cette convention, Christophe Eken, Président de la CPCCAF, Cécile de Saint-Michel, Présidente du CNOEC, et Yannick Ollivier, Président de la CNCC, ont officialisé cet accord le 10 octobre 2024 à Marseille, France.

Cette collaboration vise à renforcer la gouvernance, la transparence et la croissance du secteur privé en Afrique. En s’appuyant sur les expertises respectives des trois organisations, la convention prévoit des missions de coopération pour améliorer les pratiques de gouvernance et soutenir le développement économique des entreprises africaines.

Présentation des organisations :

  • CNOEC : Placé sous la tutelle du ministre de l’Économie et des Finances, le Conseil National de l’Ordre des Experts-Comptables a pour mission de représenter et promouvoir la profession, protéger les intérêts de ses membres, et contribuer au développement économique.
  • CNCC : La Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes, sous la tutelle du ministre de la Justice, représente la profession auprès des pouvoirs publics et veille à l’exercice et à l’indépendance de ses membres. Elle produit également des publications professionnelles pour faciliter les missions des commissaires aux comptes.
  • CPCCAF : La Conférence Permanente des Chambres Consulaires et organisations intermédiaires Africaines et Francophones favorise les partenariats économiques francophones pour le développement de l’Afrique. Elle promeut le transfert de savoir-faire et le renforcement des capacités des chambres et organisations africaines.

Cette signature marque une étape importante dans la coopération économique francophone et ouvre de nouvelles perspectives pour le développement du secteur privé en Afrique.